12 mars 2018
Le Centre d’innovation sociale en agriculture et le professeur en développement social et territorial de l’UQAR, Mario Handfield, initient un projet de laboratoire vivant pour la valorisation des terres agricoles abandonnées au Bas-Saint-Laurent.

Une première rencontre des acteurs de la scène agricole, sociale et économique bas-laurentienne a eu lieu ce jeudi matin à l’UQAR. Parmi la vingtaine de personnes présentes, il y avait des représentants du MAPAQ, de l’UPA, de la Coop Purdel, de la Table de concertation bioalimentaire du Bas-Saint-Laurent, des Saveurs du Bas-Saint-Laurent, de la SOPER, de COSMOSS et des agents de développement des MRC.

Tous se sont dit intéressés par la démarche qu’ils trouvent intéressante. Des projets sont déjà en cours pour valoriser les terres en friche dans la région et ils pourraient s’inscrire dans cette nouvelle démarche. Des rencontres sont prévues sont peu avec les responsables de projet en cours dans les MRC de la Mitis et des Basques. « Dans la Mitis, la municipalité de Sainte-Jeanne-d’Arc a été ciblée. Des propriétaires de terres sont intéressés à s’impliquer pour la remise en opération. Dans les Basques, on parle de production, transformation et commercialisation de petits fruits, notamment la noisette», indique M. Handfield.
Les laboratoires se trouveront au Bas-Saint-Laurent (Mitis et Basques) et au Centre-du-Québec.